
Crédits photos : Maxime Chao
Crédits photos : Maxime Chao
Après avoir échoué dans leur tentative de décolorisation de Chroma City, le Camarade Noir et son armée d’Inkies reviennent plus redoutables que jamais pour faire main basse sur Prisma City. Une fois de plus, de Blob viendra à la rescousse des habitants et utilisera toutes ses nouvelles aptitudes pour redonner ses couleurs à la ville... Tel est le pitch de départ de de Blob 2, suite, comme son nom l'indique, du de Blob premier du nom. Prévu dans les bacs pour la fin du mois de février, sur Wii bien sûr mais également PS3, Xbox 360 et DS, le titre de THQ se montre un peu plus grâce à une jolie vidéo franchement sympathique... Un mini court-métrage d'animation définissant plutôt bien l'humour du jeu. On vous laisse savourer.
Reprenant le sombre contexte de l'univers Warhammer 40.000 avec ses milliers d'années de guerre totale, Warhammer 40.000 : Space Marine laisse de côté la focalisation sur les diverses races qui peuplent cette énième adaptation vidéoludique de la fameuse licence de jeux de plateau. C'est cette fois-ci uniquement les soldats de l'Empereur qui sont mis en avant, notamment l'un des héros du corps des Space Marines, le Capitaine Titus. C'est dans son armure de plusieurs centaines de kilos que le joueur prendra place dans le cadre d'un TPS où le corps à corps n'est plus une option mais la base de la survie. Relativement corsé avec des ennemis à la puissance vite impitoyable lors d'attaques en meutes, le jeu de Relic Entertainment donne néanmoins au joueur de quoi répondre avec 15 armes différentes dont trois réservées à la mêlée. Bien connus des amateurs de petites figurines à peindre avec attention, le Bolter, le Plasma Gun ou encore le brutal Thunder Hammer prendront une place de choix dans une sélection qui s'étoffe naturellement au fil de la progression dans l'histoire. Un scénario qui se révèle d'ailleurs encore bien opaque, les quatre missions proposées n'étant pas vraiment liées entre elles et ne laissant filtrer que de rares éléments narratifs. Tout juste sait-on que l'équipe du capitaine Titus cherche à empêcher l'acquisition d'un Titan, une sorte de robot gigantesque construit sur L'Imperial Forge World, une planète prise d'assaut par les forces du Chaos. L'occasion plus ou moins rêvée d'utiliser une science du combat acquise durant de nombreuses années par les Marines. Tout du moins dans les limites imposées par des environnements assez étroits.
Que ce soit dans un canyon, dans les entrailles d'une base humaine ou encore dans les ruines d'une cité, les diverses phases de jeu proposées de Warhammer 40.000 : Space Marine avaient en commun une certaine brièveté et surtout une absence de repères parfois problématiques. Rien n'indique si cet aspect s'étend à l'ensemble du titre de Relic Entertainment, mais il n'était pas rare de se retrouver dans des lieux particulièrement sombres sans savoir où aller. Un paradoxe étonnant à la vue de zones exiguës et offrant une progression dénuée d'interactions complexes. Une désorientation à laquelle la caméra n'est pas étrangère, cette dernière ne parvenant que difficilement à se replacer, notamment lors des nombreux combats rapprochés qui font le corps du gameplay. Avec des attaques de mêlée fortes et faibles qui débouchent sur des combos de trois ou quatre coups ainsi que des charges destructrices après une courte course, Warhammer 40.000 : Space Marine permet de vraiment tirer son épingle du jeu en étant proche de son adversaire. Un aspect brutal voulu par Relic Entertainment, qui va dans le même sens que l'absence de système de couverture, étant depuis quelques années profondément ancré dans le cahier des charges du TPS. Le jeu pousse donc plus à une avancée régulière qu'à des coupures dans l'action façon duck & cover. Si l'utilisation des armes à feu reste bien évidemment majoritaire, la résistance des adversaires à ces dernières pousse souvent à tenter l'alternative Chainsword, c'est à dire découper tout ce qui dépasse. Une méthode expéditive qui peut se révéler dangereuse lors de vagues trop importantes, mais qui a l'avantage de proposer une attaque spéciale qui permet d'éliminer n'importe qui une fois la jauge de Fury remplie. Une sorte de mode berserk qui peut également se traduire par un passage en slow-motion suivant les touches avec lesquelles il est activé. Très pratique car laissant le temps de viser proprement un grand nombre d'ennemis, ce dernier est une vraie porte de sortie lors de situations désespérées dues à des adversaires coriaces et assez prudents. Une résistance qui donne à Warhammer 40.000 : Space Marine un côté old-school bien sec et agréable, dans le sens où il est nécessaire d'utiliser l'ensemble des outils mis à sa disposition pour pouvoir progresser.
Néanmoins, la sélection de missions proposée manquait peut-être de variété, reposant sur le même genre d'objectifs, avec pour finalité l'éradication de tout être vivant sur le terrain. Plus gênant, les divers scripts présents semblent n'avoir aucune prise sur le héros qui ne sourcille même pas alors qu'une route s'effondre sous ses pieds. Une absence de réaction qui retire l'aspect spectaculaire qu'implique l'utilisation de ce procédé et qui en fait un simple ajout cosmétique. Au niveau de l'esthétique justement, Warhammer 40.000 : Space Marine propose une direction artistique convaincante avec des environnements travaillés, totalement dans l'esprit de la licence, et ce malgré une réalisation qui manque un brin de folie. Un constat qui s'applique à une version non finalisée où les bugs fleurissaient et qui n'est donc pas forcément représentative de ce que sera le jeu lors de sa sortie en août. Possédant un univers immersif et une action bien brutale, qui offre de véritables phases héroïques sous des flots d'ennemis, cette version de Warhammer 40.000 : Space Marine laisse quelques questions en suspens. Non que le titre ne paraisse pas prometteur, avec sa dualité intéressante entre combat au corps-à-corps et à distance, mais le choix des niveaux mis à disposition n'a pas vraiment permis de se faire une idée sur la variété des situations. Reste également à voir ce que réserve l'aspect multijoueur, dévoilé mais non présenté lors de cette session. Sortie prévue sur PlayStation 3, Xbox 360 et PC.
Suite à l'annonce de la Nintendo Wii U, Nintendo vient de mettre en ligne une bande-annonce qui revient rapidement sur plusieurs titres des éditeurs tiers. Ainsi, vous pouvez apercevoir ci-dessous et en mouvement Darksiders 2, Dirt, Aliens : Colonial Marines, Ghost Recon Online, Metro : Last Light, Tekken et Ninja Gaiden 3 : Razor's Edge. Non, vous ne rêvez pas, on est bien sur une console Nintendo.
En cette rentrée 2012, Marcus revient sur JEUXACTU avec une nouvelle émission baptisée le Super Marcus World. Chaque semaine, il va en effet vous faire pénétrer chez lui afin de vous faire découvrir sa célèbre caverne d'Ali Baba et vous parler de ses goodies les plus précieux. Tous les thèmes seront représentés, à condition que l'on reste dans l'univers geek, qu'il s'agisse du jeu vidéo, de BD, de mangas, de comics américain, de figurines, de posters collectors, de peluches venues du Japon, de borne d'arcade rétro ou même de table basse en forme de manette NES faisant tourner les jeux des années 80. Marcus et JEUXACTU vous donnent donc rendez-vous la semaine prochaine pour la diffusion du premier épisode de Super Marcus World ! En attendant, voici un premier trailer pour vous faire patienter...
ASSASSIN'S CREED 3 LIBERATION : LE TRAILER DU TOKYO GAME SHOW 2012
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